4 décembre 2022

Mon (heureux) divorce de Facebook


 

Résumé des épisodes précédents. Il y a longtemps, une page Facebook du Machin à écrire fut créée. Elle disparut en septembre 2021, avant de réapparaître en octobre 2022.


Je croyais avoir trouvé l’arrangement parfait : grâce à un automatisme, mes billets de blogue se publiaient automatiquement, sans intervention manuelle de ma part, dans la page Facebook du Machin à écrire. Je n’avais plus besoin de me brancher à mon compte personnel Facebook, que je ne désirais pas utiliser de toute façon (et dont je n’avais même pas pris la peine de configurer le profil — photo, date de naissance, signe du zodiaque, arbre généalogique, groupe sanguin, code génétique, etc.). Or, il appert que cette façon de faire « enfreint nos Standards de la communauté », m’indique Facebook dans un courriel de menace. Mon compte a été suspendu et on m’invite à contester cet état de fait à défaut de quoi mon compte « sera définitivement désactivé » dans les 30 jours. Voilà qui me permet de régler ce problème sans effort : dans 30 jours, je serai débarrassé à jamais de Facebook. Bon vent !

Ainsi se termine la relation trouble entre le blogue le Machin à écrire et l’empire dorénavant connu sous le nom de Meta Platforms Inc. (NASDAQ: META). J’invite par conséquent les deux ou trois personnes qui me suivent dans Facebook à s’abonner au fil RSS de mon blogue à l’aide d’une application idoine ou à venir nous visiter de temps à autre, à leur convenance (on n’est pas sorteux).