1 avril 2019

Ces tchigaboux sont pas tuables

Nous les pensions disparus. Nous les croyions morts et enterrés. Pantoute ! Vingt ans après leur disparition, les tchigaboux remettent ça le temps d’une soirée. Une occasion unique de faire un voyage dans le temps et de danser sur leurs vieux tubes !





À propos des tchigaboux et de CQFD

D’abord actifs sur le campus de l’Université de Montréal à partir de 1989, les tchigaboux se font lentement une place sur la scène locale montréalaise. Ils participent aux incontournables concours des années 1990 (dont l’Empire des futures stars et les Francouvertes) et se produisent dans tout ce que Montréal compte de bars à spectacles. Plusieurs de leurs chansons deviennent des tubes sur les radios communautaires et étudiantes montréalaises : Ménage à trois, La liberté passe par la séparation, Cow-boy de l’est, Je suis né en 67, Printemps, Diba diba (une reprise de Boby Lapointe). Ils lancent le mini-album Les tchigaboux ! (1996) et l’album Y a pas qu’l’amour qui rend con (1997), puis, participent aux FrancoFolies de Montréal en 1998. Les tchigaboux donnent leur spectacle d’adieu en novembre 1999.

Le groupe CQFD est fondé en 2000 par quelques ex-tchigaboux. Ils lancent un album en décembre 2002 et font quelques spectacles à Montréal en 2002 et 2003, avant de disparaître.

Pour plus d’information : https://tchigaboux.bandcamp.com