Voilà deux ans que je déblatère ici. 160 rubriques plus tard, je peux me féliciter d’une pas pire accumulation de mots. Après calcul, j’ajoute ici 1,5 rubrique par semaine en moyenne. C’est pas des masses. Mais ça fait quand même beaucoup compte tenu du trafic sur ce site. (O.K., O.K., je ne recommence pas mes jérémiades). J’ai mis pas mal de temps dernièrement à un truc de longue haleine (qui est encore loin d’être terminé; en verrai-je le bout?), à la préparation d’un spectacle des tchigaboux, à toute sorte d’autres choses toutes plus importantes les unes que les autres (comme glander, par exemple). Tout ça explique ma moyenne de publication qui est en baisse depuis quelques mois.
Selon les analyses du trafic de ce site, mon article le plus consulté est cet espèce de poème La machine a pété (dans le sens technique et informatique) [note: j’ai depuis retiré ce texte de mon blogue parce que j’en avais marre qu’il serve de pot de miel pour des idiots à la recherche d’un engin à flatulence]. Ceci est dû à un nombre important de recherches de la phrase « la machine à pet » sur des moteurs de recherche en Europe. Je ne comprends pas cet engouement inexpliqué pour les termes « la machine à pet » de la part des Français (quoique, la scatologie semble être un truc culturel là-bas), mais il ne semble pas que ces personnes apprécient particulièrement mes écrits, parce que 80 % des visiteurs demeurent ici moins de 5 secondes! Mais je les comprends d’être déçus s’ils pensent trouver ici les plans d’une machine à pet...